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Nous sommes allés sur une plage où il y a vraiment des fossiles. Cette plages est protégée par l’UNESCO. Nous avons droit a une visite guidée a travers le musée et la plage elle-même. Après la visite nous sommes allés marcher sur la plage. Papa a trouvé sur un gros rocher plus de 300 fossiles de végétaux.
Il pleut. Observation des baleines dans un livre !
(6 à 10 tonnes et 6 à 10 mètres). On essaie d’aller voir des grandes baleines au large. Le bateau secoue énormément. Le capitaine, Nicolas, essaie d’absorber les creux de 1 à 2 mètres. Mais il n’y arrive pas à chaque fois. Après 20 minutes de secousses, je distingue à 10 mètres, un marsouin commun (40 à 65kg et 1.5 à 2 mètres).
Nous décidons d’aller voir les bélugas dans le fjord. A l’entrée du fjord, Nicolas nous signale qu’il y a une grande baleine et son petit dans le Saint Laurent. On vote. 70% sont pour la grande baleine et 30% pour les bélugas. Nous allons donc vers la grande baleine.
Re-belote pour 30 minutes de secousses plus puissantes encore. Nous attendons impatiemment la baleine. Après 10 minutes d’attente, pssssssscht ! Qu’est ce que c’était ? On se retourne et une masse grise sort son dos de l’eau avec un jet de plus de 7 mètres de haut. Son dos est sans fin. Pscht ! Son petit. Nous apprenons qu’il s’agit d’un rorqual commun qui mesure entre 18 et 27 mètres et 40 à 50 tonnes. Elle se nomme « Capitaine Crochet » à cause de sa nageoire dorsale très courbée vers l’arrière.(voir la vidéo)
Nous quittons Tadoussac en prenant le traversier car la route s’interrompt. Après une semaine d’attente, surpris, nous voyons des dizaines de bosses blanches sortir de l’eau : des bélugas !
Nous arrivons à Québec. Nous sommes le 1er juillet, Fête du Canada. Je me dis que je vais avoir du mal à m’intégrer aux autres mais finalement tout le monde a les yeux rivés sur le concert de hard rock animé par deux groupes ; les Pistolets Roses et Finger Eleven. Finalement c’était trop bien. J’ai dansé toute la soirée et j’ai bien dormi. Vive le 1er juillet !
Re-belote pour 30 minutes de secousses plus puissantes encore. Nous attendons impatiemment la baleine. Après 10 minutes d’attente, pssssssscht ! Qu’est ce que c’était ? On se retourne et une masse grise sort son dos de l’eau avec un jet de plus de 7 mètres de haut. Son dos est sans fin. Pscht ! Son petit. Nous apprenons qu’il s’agit d’un rorqual commun qui mesure entre 18 et 27 mètres et 40 à 50 tonnes. Elle se nomme « Capitaine Crochet » à cause de sa nageoire dorsale très courbée vers l’arrière.(voir la vidéo)
Nous quittons Tadoussac en prenant le traversier car la route s’interrompt. Après une semaine d’attente, surpris, nous voyons des dizaines de bosses blanches sortir de l’eau : des bélugas !
Nous arrivons à Québec. Nous sommes le 1er juillet, Fête du Canada. Je me dis que je vais avoir du mal à m’intégrer aux autres mais finalement tout le monde a les yeux rivés sur le concert de hard rock animé par deux groupes ; les Pistolets Roses et Finger Eleven. Finalement c’était trop bien. J’ai dansé toute la soirée et j’ai bien dormi. Vive le 1er juillet !
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Nous sommes allés à Montréal. Beaucoup de souvenirs pour Papa et Maman qui y ont vécu 3 ans il y a plus de 13 ans de cela.
Le lendemain nous sommes montés sur le Mont-Royal. Notre montée a été récompensée par un spectacle de rue assez impressionnant donné par un Australien, puis par des écureuils qui mangeaient dans ma main.
A Montréal, j’ai aussi découvert les yagourts glacés de chez « MeuMeu ».
Nous avons également visité le Vieux Montréal, dont les vestiges recouverts par le musée historique de la Pointe à Callières.
Le lendemain nous sommes montés sur le Mont-Royal. Notre montée a été récompensée par un spectacle de rue assez impressionnant donné par un Australien, puis par des écureuils qui mangeaient dans ma main.
A Montréal, j’ai aussi découvert les yagourts glacés de chez « MeuMeu ».
Nous avons également visité le Vieux Montréal, dont les vestiges recouverts par le musée historique de la Pointe à Callières.
Aux 3/5 de la tour, un sol vitré nous permet d’avoir des sensations fortes à 340 mètres au dessus du vide, soit plus haut que la tour Eiffel !
Nous avons eut la chance de voir les Chutes du Niagara. Ce ne sont pas les plus hautes du monde, mais les plus larges (50 mètres de haut pour près de 800 mètres de large).
Nous apprenons que plus de 5700 m3 d’eau tombent par seconde.
Des « fous » ont voulu risquer leur vie (certains y ont laissé la leur) en sautant simplement du haut, dans des tonneaux ou sans rien, juste avec un gilet de sauvetage.
Nous avons eut la chance de voir les Chutes du Niagara. Ce ne sont pas les plus hautes du monde, mais les plus larges (50 mètres de haut pour près de 800 mètres de large).
Nous apprenons que plus de 5700 m3 d’eau tombent par seconde.
Des « fous » ont voulu risquer leur vie (certains y ont laissé la leur) en sautant simplement du haut, dans des tonneaux ou sans rien, juste avec un gilet de sauvetage.
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